Lettre à la plume blanche
La plume
Ma lettre pour toi est aveugle
Durant tant d'année,
Une sorte de passé magique,
De terre féerique m'a manqué
Esprit épique pour de l'encre noir
Le nom de la bravoure
Écrite par ma plus blanche
Perdu dans un rêve de liberté
Loin de mes nuits les plus noires
Aujourd'hui, je me bats pour le royaume
Je me bats pour ma lumière
Le combat
N'oubliez pas,
Nous sommes tous pareils
Le même sang, la même rage
Coule dans nos veines
Mes frères, rappelez-vous
Pourquoi ce sang coula cette nuit
Sur la terre de notre délivrance.
Perdu dans un rêve de liberté
Loin de mes nuits les plus noires
Aujourd'hui je me bats pour le royaume
Je me bats pour ma lumière
Ces pages d'histoire sanglantes
Écrites par ma plume blanche
Ce que vous nous disiez n'étaient que mensonges
Au nom de mes espoirs emprisonnés
Laissez mon chardon, ma partie,
A jamais se libérer
Terre Mère
Si mon amour pour toi fut si profond,
C’est que rien n’est plus précieux
que la Liberté !
Rien n’est plus beau que toi,
Ma verte patrie !
Mon beau pays !
Et encore aujourd’hui, je donnerai plus que mon sang,
Pour que fleurisse encore le Chardon.
Unis dans un même désir farouche,
Nous avons tout donné, tant sacrifié
Pour que restent vertes les prairies,
Jusqu’au bout de la passion de mon regard.
La Liberté n’est pas utopie
Elle va au-delà de la vie
Pour les hommes de ma terre !
Mon ami, souviens-toi ! Souviens-toi !
Que les rivières saignèrent du rouge
De la colère de tes pères !
Jamais je n’ai abandonné l’espoir,
Ni dans leurs prisons si froides,
Ni sous la torture du Bourreau…
Jamais je n’ai oublié les vertes prairies
Et je donnerai, ma vie, infiniment,
Pour que fleurisse toujours le Chardon…
Unis dans un même désir farouche,
Nous avons tout donné, tant sacrifié
Pour que restent vertes les prairies,
Jusqu’au bout de la passion de mon regard.
La Liberté n’est pas utopie
Elle va au-delà de la vie
Pour les hommes de ma terre !
Unis dans un même désir, farouche
Nous avons tout donné, tant sacrifié
Pour que restent vertes les prairies,
Jusqu’au bout de la passion de mon regard.
La dernière fois ensemble…
Sous cette plume blanche
J'ai écrit ces sombres pages de souvenirs
Souviens-toi de ce chardon sauvage
Serré sur mon cœur blessé
Scellant notre amour datant
Souviens-toi de ton sourire
Ce sourire éternel
Que je garderai toujours en moi
Souviens-toi de nos adieux
Ce refrain de nos cœurs
Garde nos regards en toi
Et jette tous nos souvenirs
Parce que je quitte ma patrie pour toujours
Ce dernier instant ensemble
Deviendrai notre éternité.
Le glas de ma liberté
Oh j'aurais aimer voir les terres hautes
Avant que mon corps dorme infiniment.
Cette hauteur, cette pureté,
Laissez mon regard errer encore
Sur les hautes collines de mon pays
Mon dieu, nous faut il mourir pour être libre
Pour sentir ma terre natale, mes origines
Au son de cette latitude,
J'espère qu'au nom de cette liberté
Ma plume et mon épée survivent.
A ma légende vivante,
Le chardon
Mon Dieu ! Comme il faut de l’amour,
Pour que la Vie devienne Eternelle,
Au son de cette Liberté,
A qui j’ai tout donné, tant sacrifié…
Mais c’est sans regret, que je regarde du ciel
Fleurir, infiniment, le chardon de mon pays.
Nemo me impune lacessit
Souvenirs
Bienvenue,
Je vous ai raconté cette histoire, écrite par ma plume blanche.
Beaucoup de soldat mort sur le pont de Starling
Nous aura donné plus tard la victoire de notre patrie
Starling est devenue la terre de notre héros
Aujourd’hui nous pouvons respirer l’air pur de nos prairies
Les Highlands sont nôtres paradis
Grace à la bravoure de cet homme de liberté
Souvenez vous encore une fois pourquoi Dùn Èideann
Voulu devenir libre de ce fichu empire
Aujourd’hui, vous sentez les fleurs
Hier, feu et sang coulaient
Je suis le chardon sombre du passé
Je suis les mémoires perdue d’il y a bien des siècles.
Pix : Unknown
Texte : Amaurea-Celebrindal&Melilot-Gold